La Physique Quantique nous apprend que ce sont nos pensées qui font notre réalité. Quand le corps souffre, on a un peu du mal à concevoir la chose ainsi, à concevoir que nous avons joué un rôle dans notre santé. Or, cette perception nous ouvre également les portes vers du nouveau, vers autre chose que cette souffrance qui nous limite dans notre expression authentique.
Les Processus Corporels proposent à notre corps cette réalité-là : nous sommes énergie, et les molécules de notre corps se réajustent en permanence. Quand notre corps souffre, nous sommes, en quelque sorte, « devenu » cette souffrance, pour quel que raison que ce soit. Pourrions-nous simplement devenir une autre énergie, et notre réalité en serait ainsi ?
A priori, cela devrait être possible. Ce qui nous en empêche, ce sont nos croyances en nos limites. Ce n'est pas grave, l'humain s'est toujours fait une image de sa réalité et ses limites – jusqu'à ce que cette image devienne obsolète et une autre prend sa place. Notre humanité est actuellement sur l'un de ces pivots, et nous pouvons déjà percevoir que serait cette « autre » croyance ou chose ou énergie, même si beaucoup ne perçoivent pas encore les choses sous cet angle-là.
Les Processus corporels servent précisément à cela : à expérimenter, à jouer avec des points de perception différents, et voir ce que notre corps en fait.
Il y a ainsi le Processus pour la Vision. La vue, la vision, les yeux, nous les avons inhibés de multiples façons. Leur « parler » autrement, leur proposer une énergie résolument générative en excluant totalement le mental, qu'est-ce que cela pourrait-il faire de vos yeux, de votre vue, de votre joie de voir ce monde ?
Ou, que pourrait faire notre corps si nous arrêtions à le soumettre aux mémoires des douleurs endurées – peut-être même pas par nous-mêmes mais par l'un de nos ancêtres des siècles en arrière ?
A quel point sommes nous accablés par la notion de maladie, qui fait que nous en « créons » en permanence, ne pouvant même plus envisager son absence ? L'enfermement dans les notions de santé et de maladie nous met dans une lutte permanente, nous fait nous focaliser sur ce seul point, nous enferme dans la peur de « perdre la santé », et nous fait croire que c'est cela la normalité.
Un animal se soucie-t-il de sa santé ? Non, il vit. Et si nous aussi, nous pouvions commencer à vivre, simplement ?
Que serait une vie sans maladie ni santé, dans l'être pure, ou chacun des molécules qui nous constituent peut librement contribuer à générer, seconde après seconde, le véhicule terrestre optimal pour les projets de notre âme ?
Les processus Corporels nous invitent à jouer sur ce terrain-là. Car, si notre corps souffre, se pourrait-il que nous aurions oublié de le laisser jouer ?